Les réalisations de François Parenteau: janvier 2011

mardi 18 janvier 2011

MSN - traduction

MSN - rédaction

LNH : gros salaire… production décevante
Texte publié le 17 janvier 2012 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/lnh-gros-salaire%E2%80%A6-production-d%C3%A9cevante?ocid=LastSlide&tcid=LastSlide

LNH : belles surprises de mi-saison
Texte publié le 17 janvier 2012 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/lnh-belles-surprises-de-mi-saison?ocid=LastSlide&tcid=LastSlide

LNH : les entraîneurs les plus explosifs
Texte publié le 13 janvier 2012 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/diaporama.aspx?cp-documentid=32021718

Ces joueurs au succès éphémères
Texte publié le 3 janvier 2012 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/ces-joueurs-au-succ%C3%A8s-%C3%A9ph%C3%A9m%C3%A8res

Affrontements entre coéquipiers du Canadien
Texte publié le 3 janvier 2012 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/diaporama.aspx?cp-documentid=31888605

Revue sportive de l'année 2011
Texte publié le 15 décembre 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/revue-de-l%E2%80%99ann%C3%A9e-2011

Les séduisantes filles des vedettes sportives
Texte publié le 12 décembre 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/les-s%C3%A9duisantes-filles-des-vedettes-sportives

Des sportifs très religieux
Texte publié le 7 décembre 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/quand-sport-et-religion-font-%C3%A9quipe

LNH : moments embarrassants sur la glace
Texte publié le 2 décembre 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/moments-embarrassants-sur-la-glace

LNH : les retours au jeu marquants
Texte publié le 22 novembre 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/lnh-les-retours-au-jeu-marquants

Ô scandale!
Texte publié le 21 novembre 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/%C3%B4-scandale-5

Au cachot!
Texte publié le 7 novembre 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/sportifs-derri%c3%a8re-les-barreaux

Les pires saisons du Canadien
Texte publié le 25 octobre 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/les-pires-saisons-du-canadien

Mauvais ailleurs, bons avec le CH
Texte publié le 12 octobre 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/mauvais-ailleurs-bons-avec-le-ch?cp-documentid=30984081

Les plus grands traîtres de la LNH
Texte publié le 12 octobre 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/les-plus-grands-tra%C3%AEtres-de-la-lnh?cp-documentid=30981932

Matchs de la LNH : où sont les billets les plus et les moins chers?
Texte publié le 7 octobre 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/matchs-de-la-lnh-o%C3%B9-sont-les-billets-les-plus-et-les-moins-chers?cp-documentid=30916970

Trucs gagnants pour pools de hockey
Texte publié le 6 octobre 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=30887583

Une carrière sportive après le cancer
Texte publié le 30 septembre 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/une-carri%C3%A8re-sportive-apr%C3%A8s-le-cancer?cp-documentid=30815775

Gaffes et péripéties avec les trophées
Texte publié le 29 septembre 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/gaffes-et-péripéties-avec-les-trophées?cp-documentid=30805467

LNH : Le début de la saison 2011-2012 (quiz)
Texte publié le 29 septembre 2011 : http://quiz.fr.ca.msn.com/MSNSport/saison-2011-2012-LNH

La saison 2011-2012 de la NFL est lancée (quiz)
Texte publié le 29 septembre 2011 : http://quiz.fr.ca.msn.com/MSNSport/saison-2011-2012-NFL

Bons ailleurs, mais pas chez le Canadien
Texte publié le 22 septembre 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/bons-ailleurs-mais-pas-chez-le-canadien?cp-documentid=30709760

Crashs d'avion ayant décimé des équipes sportives
Texte publié le 8 septembre 2011 : cliquez ici

Place au football de la NFL
Texte publié le 6 septembre 2011 : cliquez ici

Les équipes de la LNH qui se sont le plus améliorées cet été
Texte publié le 31 août 2011 : cliquez ici

Les moments forts de la Coupe Rogers en images
Texte publié le 14 août 2011 : http://sport.ca.msn.com/tennis/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=30046632

À surveiller à la Coupe Rogers 2011
Texte publié le 5 août 2011 : http://sport.ca.msn.com/tennis/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=29870813

Revivez le Tour de France 2011 en images
Texte publié le 25 juillet 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=29660499

Les joueurs à surveiller pour la prochaine saison du CH
Texte publié le 15 juillet 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=29516636

Grandes gueules
Texte publié le 29 juin 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=29299735

Comparaison Atlanta/Winnipeg
Texte publié le 28 juin 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=29291042

Père vedette, enfant vedette
Texte publié le 20 mai 2011 : http://sport.ca.msn.com/fete-des-peres/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=28806200

À la fois papa et athlète
Texte publié le 19 mai 2011 : http://sport.ca.msn.com/fete-des-peres/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=28791609

Les événements sportifs marquants du Canada
Texte publié le 29 avril 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=28563594

Vidéos virales : par ici les clics!
Texte publié le 26 avril 2011 : http://techno.ca.msn.com/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=28513497

Les commandites dans la LNH : qui empoche le plus?
Texte publié le 25 avril 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=28499608

Les pestes de la LNH
Texte publié le 21 avril 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=28460525

Séries LNH : les surprises de première ronde
Texte publié le 7 avril 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=28289706

Records sportifs imbattables
Texte publié le 6 avril 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=28274608

Les dynasties du sport

Texte publié le 9 mars 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=27928738

Transactions : les rumeurs brûlantes de la LNH

Texte publié le 21 février 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=27752453

Transactions : les joueurs qui peuvent aider le Canadien

Texte publié le 21 février 2011 :http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=27751637

Faits saillants du Super Bowl

Texte publié le 7 février 2011 : http://sport.ca.msn.com/football/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=27576647

Quiz sur le Super Bowl

Texte publié le 3 février 2011 : http://quiz.fr.ca.msn.com/quiz/default.aspx?id=80eb632a-9d76-468f-8752-2d08ec00ee83

Arénas tricolores

Texte publié le 7 janvier 2011 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=27155822

Maudits Québécois!

Texte publié le 4 janvier 2011 : http://sport.ca.msn.com/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=27018595

Revue de l’année 2010

Texte publié le 31 décembre 2010 : http://sport.ca.msn.com/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=26981693

Mastodontes du hockey

Texte publié le 29 décembre 2010 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=26953732

Frères tricolores

Texte publié le 17 novembre 2010 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=26386873

Gros potentiel, petits résultats

Texte publié le 12 novembre 2010 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=26326933

Les joueurs flamboyants du poker

Texte publié le 11 novembre 2010 : http://sport.ca.msn.com/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=26305761

Les meilleurs trucs pour réussir son pool

Texte publié le 26 août 2010 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=25358076

Quelle équipe pour un retour de la LNH à Québec?

Texte publié le 25 août 2010 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=25342583

Jeunes recrues : espoirs du CH?

Texte publié le 5 août 2010 : http://sport.ca.msn.com/hockey/photos/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=25102869

mardi 11 janvier 2011

L'AQAIRS vous informe! a été le premier magazine "officiel" pour lequel j'ai collaboré, à mes débuts à l'Université de Sherbrooke.

Depuis, j'écris régulièrement pour cette publication qui traite des nouvelles de l'Association québécoise des arénas et des installations récréatives et sportives.

Au menu : des textes sur les arénas, l'environnement, l'accessibilité universelle, les systèmes de réfrigération, la publicité et les commandites, etc.

C'est un texte de ce magazine qui m'a valu le 2e prix du Prix de journalisme en loisir 2009 : http://francoisparenteau.blogspot.com/2011/01/2e-prix-au-prix-de-journalisme-en.html

De plus, je suis réviseur-correcteur pour le magazine.

Site Internet du magazine : http://www.aqairs.ca/?0ABCA9FD-93EE-4A9E-905A-4827501759BD

lundi 10 janvier 2011

L'importance des journaux étudiants

Quand j'étais au secondaire, j'ai correspondu avec des mentors par le biais d'Academos, un site Internet québécois. Les conseils que j'ai reçus m'ont été très utiles depuis le début de ma carrière.

Le plus important : écris, écris et écris. Tant au cégep Marie-Victorin qu'à l'Université de Sherbrooke, j'ai toujours été très engagé dans les journaux étudiants.

De mon propre chef, j'ai couvert les activités des Trappeurs de Marie-Victorin et de l'Axion de Montréal, deux équipes de hockey féminin. Cela m'a permis de développer mon style et de prendre contact avec le métier.

Par ailleurs, j'ai aussi occupé le poste de chef de pupitre de la section "Société" au journal Le Collectif de l'UdeS.

Durant mes études, en plus d'être très assidu dans mes travaux scolaires, j'ai écrit près d'une centaine d'articles sur divers sujets, ce qui m'a donné une expérience inestimable au moment d'entrer sur le marché du travail. En voici quelques-uns.

Journal de l'Université de Sherbrooke :

Le cyberjournalisme citoyen en plein essor

Comment Internet a changé la vie des voyageurs

Garçons et filles ont des comportements très différents en arts plastiques

Une préservation linguistique très différente

Des agriculteurs en quête de reconnaissance

De meilleurs outils contre la toxicomanie

Des finissants infirmiers de l'UdeS en mission en Afrique

Journal Le Collectif :

La Chine après les Jeux olympiques

Stagnation permanente ou développement à l’horizon?

Métro, boulot, dodo: une fatalité à repousser

Impacts du coût de l’essence

Les immersions, un bien nécessaire?

La chance laissée aux coureurs

Expédition sur le pouce… de la société

Au tour de l’Inde de conquérir l’espace

Sherbrooke se venge de Bishop’s

Pendant ce temps, dans la LNH…

Brèves insolites

Sensibilisation contre l’alcool au volant: peine perdue?

Mes débuts à La Presse

À 17 ans, j'ai commencé ma carrière à la pige en collaborant avec La Presse. Michel Marois, alors directeur des sports, a aimé les textes que j'écrivais dans le journal de mon cégep et m'a donné ma première chance.

Durant un peu plus d'un an, j'ai écrit dans le défunt cahier Sport plus juniors. J'écrivais des textes destinés aux jeunes lecteurs du quotidien, un prélude à ma collaboration actuelle au magazine Les Débrouillards.

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La Presse
Sports, dimanche 14 août 2005, p. S8

Sports plus junior

Wakeboard
Un mélange de quatre sports vraiment trippant!

Parenteau, François
Collaboration spéciale

Du haut de ses 5'2'', Olivier Derome est un géant du wakeboard au Québec. Olivier pratique depuis six années ce sport extrême qui ne cesse de croître en popularité, particulièrement chez les jeunes.

Ce jeune homme de 19 ans, originaire de Coteau-du-Lac, n'est pas qu'un simple rider occasionnel. Olivier est le champion canadien en titre de la catégorie 14-18 ans. Dès sa tendre enfance, Olivier plonge littéralement dans les sports aquatiques. Habitant au bord de l'eau, il commence par pratiquer le ski nautique, à l'instar de son paternel. Puis, il prend connaissance de l'existence du wakeboard. "Étant un peu casse-cou, ce sport m'attirait davantage. J'ai donc participé à un camp de wakeboard organisé par Jean-François Gosselin, en 1999 à St-Donat, et j'ai tout de suite eu la piqûre", raconte Olivier.

Le wakeboard a été inventé en 1985 par Tony Finn, originaire de la Californie. Il est relié à quatre autres sports: le surf, le snowboard, le ski et le skateboard. En fait, selon Olivier, le wakeboard a d'abord évolué à partir du surf. "On a commencé par poser des fixations pour les pieds sur la planche, explique-t-il. Puis, on a introduit le bateau afin de tirer les athlètes. C'est à ce moment que l'apport du ski nautique entre en jeu. En utilisant un bateau plus grand avec une coque qui fait grossir la vague, les riders peuvent réaliser des sauts pouvant atteindre jusqu'à 12 pieds d'altitude."

Alors que le monde du sport est habituellement réservé aux personnes de grande taille, le wakeboard fait figure d'exception. "C'est certain qu'être petit peut aider à compléter des figures plus complexes, mais ça ne suffit pas pour obtenir le monopole des victoires, explique Olivier. La force physique et la flexibilité sont deux qualités très importantes dans ce sport. Une personne de grande taille peut donc elle aussi très bien tirer son épingle du jeu lors des compétitions."

Selon Olivier, ce qui différencie vraiment le wakeboard des autres sports de glisse, c'est que malgré son côté individuel, on a la possibilité d'être toujours en groupe. "On peut s'entraîner accompagné de tous nous amis dans le bateau avec la musique dans le tapis, raconte Olivier. L'ambiance du sport est vraiment incroyable".

Tout au long de la saison estivale, Olivier parcoure plusieurs cours d'eau de la province en compagnie du reste de l'équipe X-Tour. Il s'agit d'une série de cliniques spécialisées en wakeboard, dirigée par Jean-François Gosselin, un gars très impliqué dans le monde du wakeboard au Québec. Les membres de l'équipe enseignent les rudiments de leur sport favori à tous les amateurs désireux d'en apprendre davantage tout en profitant de l'inestimable expérience et de précieux conseils de leurs professeurs.

"Les cliniques spécialisées de Jean-François constituent une façon très agréable de montrer aux gens ce qu'est le wakeboard, affirme Olivier. C'est d'ailleurs à l'une de ces cliniques que j'ai pris connaissance du wakeboard."

"L'ambiance chaleureuse, le sport, les belles journées sur l'eau: on fait grandir le monde du wakeboard tout en s'amusant", s'exclame-t-il, esquissant un sourire qui vient appuyer ses dires.

Du 17 au 21 août prochain, à l'occasion des Championnats canadiens de wakeboard, à Montréal, il tentera de relever son défi de toujours: devenir le champion canadien toutes catégories confondues. "Je répèterais ainsi l'exploit de mon père Julien, en ski nautique, et de Jean-François, en wakeboard", rêvasse Olivier.

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La Presse
Sports, dimanche 11 septembre 2005, p. S14

Sports plus junior

Les Cougars
Véritable tradition à Saint-Léonard

Parenteau, François
Collaboration spéciale

La Ville de Saint-Léonard est souvent associée au football amateur. L'équipe junior des Cougars défraie la manchette sportive plusieurs fois au cours de la saison puisqu'elle est la seule au Québec à faire partie du Championnat canadien. On s'intéresse à ce point à cette équipe qu'on oublie facilement les autres clubs qui font partie de l'organisation.

Les jeunes qui désirent jouer pour les Cougars de Saint-Léonard peuvent s'inscrire dans les catégories atome (6 à 9 ans), moustique (10-11 ans), pee-wee (12-13 ans), bantam (14-15 ans), midget (16-17 ans) et junior (18-21 ans).

L'organisation célèbre cette année son 20e anniversaire. Tout a commencé en 1985 avec la mise en place d'une équipe junior. Ce n'est que dix ans plus tard, en 1995, que la catégorie pee-wee a été instaurée.

Depuis, plusieurs jeunes de 12-13 ans pratiquent leur sport favori au sein de cette organisation très professionnelle. C'est le cas de Gregory Kuzyk, 12 ans, porteur de ballon. "Cela fait maintenant quatre années que je joue au football avec les Cougars, dit-il. J'ai débuté à la catégorie moustique et l'organisation est vraiment très compétente."

Il a bien choisi son organisation, car pour réaliser son rêve, Gregory ne peut se permettre de ne pas être entraîné adéquatement. "Mon but est de jouer un jour dans la Ligue canadienne de football (LCF). C'est une très grande motivation qui me pousse à me défoncer à chaque jeu sur le terrain", explique-t-il.

Une fille entourée de gars

Gregory n'est pas le seul à tripper littéralement sur le terrain à raison de quatre séances d'entraînement par semaine et de 10 parties par saison. Sa petite coéquipière, Kayla Branco, 12 ans, ne s'en laisse pas imposer par ses camarades masculins malgré son gabarit réduit. "Les plaqués ne me font pas peur. J'adore en appliquer à mes adversaires!" affirme-t-elle, tout en affichant un sourire malicieux.

Kayla fait preuve d'un très grand courage, car elle est la seule fille à faire partie de l'équipe. Mais ce n'est pas ce qui va l'arrêter. "J'aime être entourée de garçons. Ça ne me dérange pas du tout", soutient-elle.

Même si Kayla n'a pas froid aux yeux, un plaqué ne se reçoit pas sans douleur. "J'occupe la position de receveur, donc les plaqués que je subis n'ont pas beaucoup de vélocité étant donné qu'ils sont effectués la plupart du temps en pleine course. L'impact est donc moindre", explique-t-elle.

Malgré cela, elle prend le soin de préparer son avenir sportif. "J'aimerais pratiquer le tennis lorsque je ne jouerai plus au football."

Des bénévoles dévoués

Si les Cougars ont une bonne équipe pee-wee, c'est surtout grâce à une solide équipe de bénévoles qui se dévouent corps et âme pour les jeunes. Les entraîneurs doivent être très disponibles, car quatre séances d'entraînement ponctuent l'horaire chaque semaine, sans compter les parties régulières.

Joseph Cancilla s'acquitte à merveille de sa tâche d'entraîneur-chef. Il est doté d'une patience inouïe, lui qui en est à sa troisième saison derrière le banc de cette jeune équipe. "C'est certain que lorsqu'on dirige des jeunes de cet âge, il faut toujours répéter. On est de véritables perroquets! rigole Cancilla. On doit être extrêmement patients."

France Fontaine, gérante de l'équipe, soutient que la grande discipline qui prévaut dans le football plaît beaucoup aux parents. "Plusieurs d'entre eux nous disent régulièrement que leur enfant est plus autonome, plus discipliné ou encore qu'il a davantage confiance en lui. C'est une très grande satisfaction pour nous", explique-t-elle.

Qu'est-ce qui a bien pu pousser Joseph à devenir bénévole pour les Cougars? Est-ce la passion du sport? "C'est bien plus que ça, affirme-t-il. Lorsque j'étais enfant, je flânais dans les rues et des adolescents du YMCA m'ont sorti de ce milieu afin de me faire jouer au football pour l'équipe de Sun Youth, dans l'ouest de Montréal. Je désire en faire autant pour les jeunes d'aujourd'hui. Je veux remettre à la société ce qu'elle m'a donné", de conclure M. Cancilla.

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La Presse
OUPS, dimanche 19 février 2006, p. ARTS SPECTACLES11

Olympique
Le hockey, c'est aussi pour les filles

Parenteau, François
Collaboration spéciale

Le nombre de joueuses de hockey ne cesse d'augmenter, depuis quelques années, en raison des succès que connaît l'équipe féminine canadienne sur la scène internationale. Voici trois jeunes filles qui rêvent de s'y joindre un jour...

Zoé Delisle et Johanie Filliatreault, 12 ans, ainsi que Stéphanie Cumming, 13 ans, "mangent" du hockey toute l'année. Les trois jeunes filles jouent pour l'équipe de Bourassa, qui fait partie de la Ligue inter-régionale féminine. Elles sont particulièrement choyées cette année, car les compétitions olympiques de hockey sont toujours très intéressantes, autant celles des hommes que des femmes.

Cela fait donc plus de parties de hockey à regarder à la télévision. "Je vais en regarder le plus possible si, bien sûr, je n'ai pas trop de devoirs à faire!" rigole Stéphanie, qui est capitaine de son équipe.

Pour Johanie, ces compétitions sont très motivantes. "J'aime le hockey, ça me fascine et c'est très stimulant de voir ces femmes percer dans un sport autrefois réservé aux hommes et performer aussi bien qu'elles le font actuellement." C'est grâce à son frère si Johanie joue au hockey pour la première fois cette année. "Il a décidé de devenir gardien de but et il m'a proposé d'essayer son équipement de joueur pour ensuite aller à la patinoire. J'ai adoré mon expérience et je me plais beaucoup dans mon équipe", raconte-t-elle.

Zoé est très fière du succès que connaissent les joueuses de l'équipe féminine canadienne de hockey. "On dit souvent que les filles n'ont pas les mêmes capacités que les gars, mais l'équipe canadienne est un bon exemple qui dément cette affirmation. Elles offrent du hockey de très haut niveau." Stéphanie est motivée par les exploits des joueuses olympiques et croit que ces performances ne sont pas étrangères à la hausse de popularité du hockey féminin. "Il ne fait aucun doute que cela a amené plusieurs jeunes joueuses à tenter leur chance dans le hockey féminin."

Les trois joueuses pee-wee partagent le même rêve: faire partie un jour de cette célèbre l'équipe canadienne. "Ça serait une très grande satisfaction personnelle de me rendre à un aussi haut niveau dans le sport qui me fait tripper", estime Johanie.

"Hayley Wickenheiser et Martin Saint-Louis sont mes deux plus grandes idoles, dit Stéphanie. Hayley, qui a joué dans une équipe masculine professionnelle en Finlande, était très bonne. Ça me réjouit de la voir connaître du succès, c'est mon modèle."

À cause de sa petite stature, les performances de Martin Saint-Louis l'animent énormément. "Je m'identifie beaucoup à lui, car il prouve qu'une personne de petite taille peut faire sa place dans un monde de grands."

Zoé, elle, est enchantée par le choix de la joueuse de hockey Danielle Goyette comme porte-drapeau du pays. "C'est un honneur pour cette vétérante qui en est à ses troisièmes Jeux. En plus de représenter le Canada, elle va mettre le hockey féminin à l'avant-plan."

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La Presse
OUPS, dimanche 12 février 2006, p. ARTS SPECTACLES9

Fous du snowboardcross

Parenteau, François
Collaboration spéciale

Les jeunes amateurs de surf des neiges seront ravis de voir à l'oeuvre les meilleurs de cette discipline, pour la première fois au programme olympique.

Le surf des neiges est un sport relativement récent - il a été popularisé durant les années 90 - et est très populaire chez les jeunes. Ils forment d'ailleurs la majorité des adeptes de ce sport sur les pentes de ski l'hiver. Indrik Trahan, 12 ans, se spécialise dans le slalom géant parallèle alors que Frédérique Joncas, 13 ans, fait partie de la nouvelle génération de snowboardcrossers. Cette dernière se promet de ne pas manquer une seconde des compétitions de snowboardcross à Turin.

"Ça va être spécial d'admirer les prouesses des meilleurs athlètes au monde aux Jeux olympiques pour la première fois, dit-elle. Cela va être une grande motivation pour moi de voir ces gens réaliser leur rêve de participer à cette compétition, une ambition que je partage également."

Frédérique a commencé le surf des neiges à 4 ans. Comme ses parents étaient déjà des adeptes de ce sport et que son père était propriétaire d'un magasin d'équipements de snowboard, elle s'est laissée tenter. "Un après-midi, mon père m'a amenée dans la pente derrière mon école primaire pour me faire essayer ce sport, raconte-t-elle. C'est à ce moment-là que j'ai eu la piqûre."

L'athlète qui lui sert de motivation et de modèle ne pratique pas le surf des neiges, mais le cyclisme. "Lance Armstrong est mon idole depuis très longtemps à cause de sa passion pour le sport et de sa détermination extrême, raconte Frédérique. Il a combattu le cancer avec brio pour ensuite imposer sa suprématie lors de nombreux Tour de France. J'admire beaucoup sa persévérance."

Pour ce qui est d'Indrik, spécialiste du slalom géant parallèle, c'est l'amour de la vitesse qui l'a amené à faire du snowboard. "Il faut être très agile des pieds et excessivement rapide dans les virages, indique-t-il. Les descentes me procurent un sentiment de liberté inégalé."

Lors des prochains Jeux, ce sera la première fois qu'Indrik regardera les célèbres compétitions à la télévision. Il contemplera particulièrement les perfor-mances de son idole, Jasey-Jay Anderson. "Je vais porter attention aux mouvements qu'il va effectuer. Ça va me permettre d'apprendre de nouvelles techniques à appliquer sur les pentes."

Sa chambre à coucher est remplie de produits à l'effigie de son athlète favori. "Je collectionne toutes ses affiches et je conserve précieusement tous les articles de journaux qui traitent de lui. Je l'admire, car malgré son énorme succès, il ne se prend pas pour un autre et ne s'enfle pas du tout la tête."

En dépit de son jeune âge, Indrik pense beaucoup à sa possible participation future aux Jeux olympiques. Il vise les prochains Jeux, soit ceux de Vancouver en 2010. Il aura alors 16 ans. Ce jeune âge ne l'inquiète pas outre mesure. "Il suffit d'être positif et si on donne notre maximum, tout est possible."

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La Presse
Sports, dimanche 26 juin 2005, p. S10

Sports plus junior

Montréal : paradis du surf de rivière
Plus besoin de voyager pendant des heures pour pratiquer son sport favori

Parenteau, François
Collaboration spéciale

Saviez-vous que tout autour de Montréal, on a la possibilité de pratiquer le surf?

Le surf de rivière, un sport né dans la région de Munich en Allemagne, a été introduit au Québec par le pro-kayakiste Corran Addisson, qui a été le premier à en faire l'essai dans la métropole.

La différence entre le surf d'océan et de rivière réside dans le type de vague. La vague du surf d'océan est constamment en mouvement tandis que celle du surf de rivière est stationnaire, c'est-à-dire que l'eau passe sous la planche à la même vitesse, mais le surfer reste toujours au même endroit. Cette vague stationnaire est créée par le remous des rapides des rivières et est très utile aux surfers.

"Elle est éternelle", s'émerveille Samuel Côté, une des mordues qu'on peut voir à l'oeuvre dans les eaux du fleuve et des autres cours d'eau de la région. "Cette vague nous permet de flotter sur elle aussi longtemps qu'on le désire. On améliore donc nos mouvements beaucoup plus rapidement."

Samuel Côté, 23 ans, policier au centre-ville de Montréal, est un adepte du surf d'océan depuis plusieurs années. Depuis sa découverte du surf de rivière, l'an dernier, il ne jure que par ce sport.

"Ma saison s'est terminée le 2 décembre dernier et a repris le 20 mars, explique-t-il. Depuis, je suis dans les rapides presque chaque jour avec mes partenaires habituels, Corran Addisson et Jo Louis St-Arnaud, à pratiquer ce sport merveilleux."

Pour Samuel, Montréal est une ville idéale pour le surf de rivière. Avec des sites comme les rapides de Chambly, Habitat 67, et surtout les rapides de Lachine, ce type de surf a un énorme potentiel dans la métropole. "Les vagues stationnaires sont un phénomène naturel très rare. Il faut regrouper un ensemble d'éléments pour en trouver : des cours d'eaux vives, des rapides et des fonds accidentés. Ces éléments sont présents dans les eaux autour deMontréal."

La World River Surfing Association (WRSA) est basée enOregon, aux États-Unis. Samuel Côté en est le représentant dans l'est du Canada. Son but premier est de promouvoir ce sport très récent.

Encore méconnu, le surf de rivière peut tout de même compter sur l'appui de commanditaires importants, comme O'Neill, une compagnie spécialisée dans le sport aquatique.

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La Presse
OUPS, dimanche 12 février 2006, p. ARTS SPECTACLES8

Olympique
Des jeunes qui bossent très fort

Parenteau, François
Collaboration spéciale

Pendant les Jeux de Turin, OUPS a demandé à son chroniqueur François Parenteau de rencontrer de jeunes athlètes d'ici qui rêvent de gloire olympique... À partir de 2010! Aujourd'hui, il nous présente des mordus de ski acrobatique et de surf des neiges.

Les trois jeunes que nous vous présentons aujourd'hui skient avec passion depuis de nombreuses années.

Simon Lemieux, 13 ans, commençait à peine à marcher, à tout juste 16 mois, quand ses parents lui ont mis des skis aux pieds. "J'étais beaucoup trop jeune pour me rappeler de cette première expérience, rigole-t-il. Tout ce que je sais, c'est que j'ai vraiment pris goût à cette activité, car 11 ans plus tard, je la pratique encore."

Un peu casse-cou dans l'âme, c'est l'aspect extrême des sauts qui l'allume particulièrement. "J'adore faire les acrobaties dans les airs, accomplir des mouvements très complexes."

Béatrice Bilodeau, âgée de 12 ans, est la soeur cadette d'Alexandre, le favori de l'épreuve masculine des bosses aux Jeux de Turin. Elle doit son intérêt pour ce sport à sa mère, qui a tôt fait de lui relater les exploits des héros de cette discipline. Cela l'a marqué profondément.

"Ma mère m'a fait visionner une casette vidéo contenant des compétitions de Jean-Luc Brassard aux Jeux de Lillehammer en 1994, dont celle où il a remporté l'or, explique-t-elle. J'ai été très impressionnée par le talent de Jean-Luc et j'ai voulu essayer ce sport."

Mikaël Kingsbury, 13 ans, s'entraîne très fort pour être le meilleur dans les compétitions et ainsi participer aux Jeux olympiques et gagner une médaille.

"C'est mon plus grand rêve, cela me procurerait un sentiment de fierté indescriptible", dit-il avec enthousiasme. Contrairement à plusieurs athlètes de son âge, il ne vise pas les Jeux de Vancouver en 2010, mais plutôt ceux de 2014, dont on ne connaît pas encore la ville hôtesse. "Ça va me permettre d'être encore plus sûr de mes moyens et d'être vraiment le meilleur."

Simon partage son avis. "Je serai plus vieux et l'expérience supplémentaire que j'aurai acquise ne sera pas à négliger", souligne-t-il. Si Alexandre Bilodeau est le frère de Béatrice, Simon et Mikaël ont également eu l'occasion de le côtoyer à maintes reprises. Au sein de leur groupe, il est une grande source de motivation. "Le fait de connaître personnellement un olympien qui pratique notre sport est très stimulant", s'entendent pour dire Simon et Mikaël.

Béatrice vit l'expérience des Jeux de près en accompagnant son frère à Turin. "Je suis ses traces depuis longtemps et ça va être très spécial de le voir pour la première fois aux Jeux olympiques de mes propres yeux et non par l'intermédiaire de la télévision", dit-elle.

Depuis qu'il a joint l'équipe nationale, Alexandre a moins de temps à consacrer à sa petite soeur. "Durant les vacances de Noël, il a réservé du temps pour skier avec moi et m'a prodigué de très bons conseils pour m'améliorer, raconte Béatrice. Mon plus grand souhait serait de participer aux Jeux olympiques dans quelques années en compagnie de mon frère. Je vais travailler très fort pour y parvenir", assure-t-elle.

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La Presse
Sports, dimanche 13 novembre 2005, p. S12

Sports plus junior

La LNH... du bout des doigts!
Qui a dit qu'il fallait être un athlète hors pair pour jouer dans la Ligue nationale de hockey?

Parenteau, François
Collaboration spéciale

D'accord. Je l'avoue. Je ne parle pas de la ligue où les joueurs gagnent des millions en salaire, mais bien de NhlRules2k, une ligue de hockey virtuelle où des joueurs issus principalement de la classe moyenne se disputent la victoire dans l'unique but de s'amuser en jouant à leur sport favori. Je l'appelle la Ligue nationale, car c'est l'une des plus "professionnelles" que l'on peut trouver sur Internet, en ce moment, au Québec.

Comme dans la réalité

Mario Moore, avec l'aide de deux amis, Dany Belisle et Pierre Vallée, a créé la ligue il y a maintenant sept ans, en 1998. En quoi consiste une ligue de hockey Internet? En fait, c'est une copie de la Ligue nationale qu'on connaît, mais sur ordinateur. Les participants jouent leurs parties par adresse I.P. avec le jeu de hockey de l'année de la compagnie EA Sports.

Il faut donc posséder un ordinateur assez récent ainsi qu'une connexion Internet haute vitesse pour pouvoir joindre la ligue. On y joue une saison régulière et des séries. On y trouve également un repêchage, la période de signatures des joueurs autonomes et les transactions sont permises. Comme dans la vraie vie, quoi. Depuis sa conception, quinze saisons complètes ont été disputées. La ligue repose donc sur des bases solides.

Beaucoup de temps libre exigé

Participer à ce genre de ligue et, surtout, en être le commissaire demande énormément de temps libre. Dans NhlRules2k, un minimum de quatre parties jouées hebdomadairement est exigé. Cela représente environ deux heures de jeu, et à cela s'ajoute le temps alloué pour les échanges et autres activités reliées à la ligue. À ses débuts, Mario passait jusqu'à six heures par jour devant son ordinateur. "J'ai passé très près d'un divorce, rigole-t-il d'un rire jaune. Depuis, j'ai beaucoup délaissé mon ordinateur pour m'occuper davantage de ma petite famille."

Le respect et le réalisme avant tout

Qu'est-ce qui distingue NhlRules2k des autres ligues de hockey Internet au Québec? "Je dirais que c'est notre souci du réalisme, déclare Mario. Dans d'autres ligues, il n'est pas rare de voir des parties se terminer 12-1, alors que dans la nôtre, les résultats sont plus similaires à ceux de la Ligue nationale de hockey." Le respect entre les membres est aussi primordial. "Nous sommes très sélectifs lorsque vient le temps de remplacer un participant, car nous voulons être certains de faire le bon choix."

Des coûts réduits

Combien tout cela coûte-t-il ? Pour joindre la ligue NhlRules2k , c'est gratuit. Il suffit donc de payer son ordinateur et son accès Internet. D'autres ligues exigent des frais de participation, mais c'est habituellement raisonnable. L'histoire est tout autre lorsqu'il s'agit de s'occuper de tout ça. "Je m'occupe de tous les frais reliés à la ligue", avoue Mario Moore.

Ces frais incluent les coûts informatiques, ainsi que des cadeaux au gagnant des séries, au finaliste et de nombreux prix de présence lors de la rencontre annuelle dans un restaurant La Cage aux Sports. "Je donne des chandails de hockey, des casquettes, des manettes de jeu, etc. Cela peut me coûter jusqu'à 600$ par année", explique M. Moore, décidémment passionné et extrêmement généreux.

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La Presse
OUPS, dimanche 19 février 2006, p. ARTS SPECTACLES10

Olympique
La chance de côtoyer son idole

Parenteau, François
Collaboration spéciale

Pendant les Jeux de Turin, Oups a demandé à son chroniqueur François Parenteau de rencontrer de jeunes athlètes d'ici qui rêvent de gloire olympique... À partir de 2010! Aujourd'hui, il nous présente des mordus du patin, dans trois disciplines très différentes les unes des autres.

Toutes les jeunes patineuses québécoises font le même voeu: voir Joannie Rochette remporter une médaille aux Jeux de Turin.

Lorsque Joannie Rochette s'élancera sur la surface glacée, mardi et jeudi, les jeunes patineuses artistiques Victoria Bouquet, 9 ans, et Mélissa Mazile, 13 ans, seront rivées au petit écran pour voir la performance de leur idole. Pour toutes les jeunes patineuses, cette athlète est un modèle de détermination et d'habileté.

Victoria et Mélissa s'entraînent au club de patinage artistique de Saint-Léonard sous les conseils de Manon Perron, la même professeure qui s'occupe de Joannie. Il va sans dire que côtoyer une olympienne a de quoi impressionner. "Joannie est très présente pour les jeunes du club. Elle nous aide beaucoup", dit Victoria.

"Elle n'hésite jamais à nous donner des conseils. Elle donne gentiment des exemples sur la patinoire pour qu'on comprenne mieux", ajoute Mélissa.

Ceux qui pratiquent ce sport débutent souvent en très bas âge. Victoria a donné ses premiers coups de patins à 4 ans. C'est en assistant à un spectacle de patinage artistique avec sa famille qu'elle a eu la piqûre. "J'ai adoré la beauté du spectacle offert par les danseurs, se remémore-t-elle. J'ai beaucoup apprécié la grâce des athlètes ainsi que leur expression corporelle. Ça m'a donné le goût d'essayer ce sport."

Quant à Mélissa, elle a d'abord fait du ballet. Puis, l'envie de danser sur la patinoire, avec la vitesse grisante, s'est manifestée. Elle a vite été conquise.

Depuis les derniers Jeux olympiques de Salt Lake City, en 2002, les deux jeunes patineuses regardent assidûment toutes les compétitions de patinage artistique. "Ça me motive énormément, dit Mélissa. Mon objectif est de participer aux Jeux de 2010 à Vancouver - elle aura alors 17 ans. Voir les athlètes de mon pays remporter des médailles me pousse à m'entraîner encore plus fort."

Comme plusieurs, Mélissa rêve de grimper les marches du podium. "C'est l'ultime récompense pour tous les efforts fournis. Je souhaite y parvenir."

Victoria, elle, est encore trop jeune pour penser sérieusement aux Jeux olympiques. Malgré tout, elle suit avec grand intérêt les compétitions de ses athlètes favoris à la télévision. "J'essaie de les imiter quand je me retrouve sur la patinoire. C'est très stimulant."

Pour de plus amples informations sur la Fédération de patinage artistique du Québec: (514) 252-3073 ou www.patinage.qc.ca

DES JEUNES VITES SUR LEURS PATINS

Chaque fois que Johnny Rosa, Christine Sammut et Stéphanie Lanz chaussent leurs patins, un immense sentiment de liberté les envahit à l'idée de filer à toute vitesse sur la patinoire.

Âgés respectivement de 11, 15 et 12 ans, nos trois jeunes patineurs de vitesse s'amusent comme des petits fous à faire des courses sur courte piste. Ils s'entraînent tous au club de Montréal-Nord, dans l'est de la métropole.

"J'ai essayé le patinage de vitesse, car c'est un sport qui n'est pas très commun et ça fait changement du hockey et du football", dit Johnny, qui pratique cette discipline depuis quatre ans. C'est en regardant des compétitions à la télévision que l'intérêt s'est manifesté. "J'adore la vitesse de nature et voir ces athlètes patiner à une aussi vive allure était très impressionnant."

Christine et Stéphanie adorent regarder les compétitions olympiques. Une tradition qui se perpétue encore cette année. "J'essaie d'en regarder le plus possible, mais je ne suis pas aussi obsédée que Christine!" lance Stéphanie.

"J'ai enregistré toutes les compétitions des Jeux de Salt Lake City et encore aujourd'hui, il m'arrive régulièrement de visionner mes cassettes", dit Christine en souriant. Elle est rivée à son poste de télévision depuis le début des compétitions, la manette du magnétoscope à la main. "Je fais tous mes travaux d'école à la hâte et je ne quitte pas le téléviseur des yeux!"

Évidemment, quand ils regardent leurs compatriotes s'illustrer, ils ne peuvent s'empêcher de s'imaginer eux-mêmes compétitionnant pour une médaille olympique quelques années plus tard. Johnny a beaucoup d'ambition. "En plus de participer aux Jeux olympiques, j'aimerais battre un record du monde. Ça serait encore plus extraordinaire pour moi", dit-il avec des étoiles dans les yeux.

Quant à Stéphanie, ses études occupent une place plus importante dans sa vie. "J'aimerais participer aux Jeux olympiques, mais ce n'est pas une priorité pour moi. Je mets davantage l'accent sur mes études, qui me garantissent une carrière à long terme."

Depuis que Christine s'est fracturé la jambe il y a quatre ans, son rêve de participer aux Jeux olympiques a diminué, mais il est encore présent. "Cette blessure est venue contre-carrer mes plans. Ma progression en a beaucoup souffert. Depuis ce temps, de nouvelles priorités ont pris le dessus. Mais je m'entraîne encore intensément dans le but d'y participer."

Et pour participer, il faut pouvoir se classer. "Le niveau d'excellence des patineurs de vitesse du Canada est tellement élevé que les essais olympiques du pays pour déterminer les représentants canadiens sont des compétitions très exigeantes", raconte Johnny.

Le patineur américain de 23 ans, Apolo Anton Ohno, est une source d'inspiration pour Christine, qui garde en mémoire cette citation de l'athlète: "Je donne toujours mon maximum et je vais briller comme une étoile." Ces commentaires l'aident à "persévérer et donner son plein rendement sur la patinoire".

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La Presse
Sports, dimanche 4 décembre 2005, p. S10

Sports plus junior

Les cartes de hockey
Une passion accessible à tous!

Parenteau, François
Collaboration spéciale

"Je t'échange Joe Sakic contre Martin Saint-Louis et Éric Lindros..."

L'industrie des cartes de hockey reprend son souffle. Après une année très difficile, gracieuseté du conflit de travail dans la Ligue nationale de hockey, les commerçants recommencent à faire des affaires d'or. Parlez-en à James Bedwany, propriétaire du Jumbobear, un magasin spécialisé dans la vente de cartes sportives à Laval. "Ce qui fait la force du marché, ce sont les cartes des joueurs recrues, explique-t-il. Comme il n'y a pas eu de saison l'an dernier, donc pas de recrues, les ventes ont chuté dramatiquement."

L'arrivée dans la LNH du phénomène Sidney Crosby a vite fait de ramener les ventes de cartes de hockey à un niveau prospère. Dans le milieu, tous les collectionneurs espèrent ouvrir un paquet qui contiendra sa carte. Une carte précieuse qui vaut déjà son pesant d'or. " Sa première carte mise en marché vaut environ 150 $US. Les prochaines vaudront sans aucun doute jusqu'à 3000 $, voire davantage."

De judicieux conseils pour collectionner

Comment s'assurer de bien débuter une collection? Il existe différentes marques de cartes qui assurent à chaque collectionneur de trouver une série qui lui conviendra. Il y en a pour tous les goûts, et surtout, pour tous les budgets. Les façons de vivre sa passion sont nombreuses. On peut collectionner les séries complètes, les cartes signées, les cartes recrues, etc.

Le propriétaire du magasin soutient que la passion est l'élément le plus important. "Il ne faut pas collectionner les cartes en pensant seulement à ce qu'elles peuvent valoir. Ça enlève tout le plaisir relié à cette activité." En effet, quelle joie un jeune éprouve-t-il lorsqu'il découvre la carte de son joueur préféré dans un paquet? Ça n'a pas de prix. Cependant, il y a de précieux conseils à appliquer si l'on veut bien entretenir ses cartes, qu'elles valent de l'argent ou non. D'abord, il faut placer la carte dans une pellicule de plastique. Cela la protège contre les égratignures. Puis, on la place dans un plastique rigide de sorte qu'elle ne s'abîmera pas.

Selon James Bedwany, la compagnie Upper Deck est excellente pour les débutants. C'est elle qui offre les meilleures séries dans le rapport qualité/prix. Sans débourser une fortune, c'est possible de mettre la main sur de très bonnes cartes en achetant ces paquets. "Pour aussi peu que 1,25 $, on se procure un paquet qui peut contenir des cartes d'une certaine valeur. C'est parfait pour ceux qui désirent s'initier à ce passe-temps."

Une bible pour les collectionneurs

Rapidement, après l'achat de quelques paquets, on a le goût d'effectuer des échanges dans le but d'obtenir d'autres cartes. Il est alors très important de connaître la valeur réelle de ses cartes avant de conclure un échange, afin de ne pas se faire arnaquer par des collectionneurs sans scrupules. Pour connaître la valeur réelle d'une carte, il faut se référer au livre Beckett. C'est la bible des collectionneurs de cartes de hockey.

Dans ce livre, on a accès au prix de toutes les cartes disponibles sur le marché. Il n'est donc plus question d'échanger ses cartes sans avoir consulté ce guide au préalable. On évitera ainsi de se mordre les doigts à la suite d'une mauvaise transaction si, bien sûr, votre intérêt dans les cartes de hockey est de faire de l'argent.

Chaque semaine, des collectionneurs se rendent au Jumbobear pour vivre leur passe-temps. Ils achètent des cartes, effectuent des échanges et parlent de hockey. "L'atmosphère est très conviviale dans mon magasin", de dire James Bedwany. Au fil des rencontres, les collectionneurs deviennent amis et partagent ensemble leur passion. "C'est plus qu'un commerce, c'est un véritable lieu de fraternisation."

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La Presse
Sports, dimanche 9 octobre 2005, p. S10

Sports plus junior

Shidokan
Un club célèbre
Un entraîneur vedette

Parenteau, François
Collaboration spéciale

Le club Shidokan a été fondé en 1973 par Hiroshi Nakamura et regroupe aujourd'hui plus de 350 membres. Les entraîneurs du club ont formé, au cours des années, plusieurs judokas de talent. Le plus connu est sans aucun doute Nicolas Gill, un athlète qui a représenté le Canada aux Jeux olympiques à plusieurs occasions durant sa carrière. C'est à ce club qu'il a fait ses premiers pas dans le monde du judo en 1985 et depuis maintenant cinq ans, il s'implique en tant qu'entraîneur.

"Même si ma carrière n'était pas encore terminée, je savais que je voulais rester dans le milieu du judo, raconte Nicolas. L'opportunité d'enseigner mes connaissances à des athlètes de très haut niveau dans le plus prestigieux club de judo en Amérique du Nord s'est présentée à moi et j'ai sauté sur l'occasion."

Chers voyages

La majorité des judokas qui s'entraînent sous la supervision de Nicolas évoluent sur la scène internationale. C'est le cas de Corey Paquette et de Rodion Melchakov, deux espoirs canadiens âgés respectivement de 16 et 18 ans. Les deux athlètes ont récemment obtenu la ceinture noire, en plus d'un premier dan. Ils font partie de l'équipe junior canadienne, ce qui leur permet de combattre dans plusieurs pays. Après avoir voyagé en Allemagne au mois d'août, ils clôtureront l'année avec une compétition au Japon en novembre.

Ces compétitions, si importantes soient-elles, demandent une contribution financière très élevée de la part de l'athlète. "Une année moyenne de compétitions coûte environ 3500$. Une grande partie de l'argent va dans les déplacements et non dans les frais de participation", explique Rodion. Il est chanceux de compter sur l'appui de sa famille pour régler les factures salées. "Ma famille s'implique beaucoup pour moi. J'ai tant à leur redonner pour les remercier", ajoute-t-il. Heureusement, les gouvernements du Québec et du Canada paient une part des frais des athlètes membres des équipes nationales.

La technique plutôt que la force

Originaire de Russie, Rodion a amorcé sa carrière en judo à l'âge de 7 ans. Au début, cette activité qui ne devait que lui permettre de dépenser son excès d'énergie est rapidement devenue une véritable passion. "C'est un sport que j'apprécie, car il n'y a pas de coups salauds. C'est sécuritaire", explique-t-il. Ce n'est pas un sport de grosses brutes. La force ne fait pas foi de tout dans le judo. "La pratique de ce sport demande une concentration hors pair et beaucoup de discipline. La tête est plus importante que les muscles. La technique est souvent un facteur déterminant entre une victoire ou une défaite", affirme Melchakov.

Le fait d'être supervisé par un entraîneur vedette constitue bien entendu une motivation supplémentaire pour ces jeunes espoirs. Corey considère Nicolas davantage comme un ami que comme un entraîneur de judo. "L'imposante feuille de route de Nicolas amène de la crédibilité à ses propos, de dire Paquette. Lorsque tu sais que celui qui te donne des conseils a réussi à tous les niveaux dans le judo, tu ne peux pas questionner la fiabilité de son enseignement ", ajoute-t-il.

L'importance des études

Bien sûr, comme dans tous les autres sports, gagner une médaille olympique représente le rêve de chaque judoka. Paquette et Melchakov s'entendent pour dire qu'ils ne s'entraînent que pour être au plus haut niveau possible, mais ils savent bien que le chemin pour s'y rendre sera très ardu à parcourir. "C'est mon rêve de remporter une médaille aux Olympiques, mais je prends tout de même le soin de continuer mes études pour avoir un bon emploi après ma carrière", explique Rodion.

Il entreprendra prochainement des études en droit dans le but de devenir avocat. Ce sera une belle alternative si jamais sa carrière n'est pas aussi glorieuse que prévue. Corey, à l'instar de Nicolas, désire quant à lui être entraîneur de judo une fois sa carrière terminée.

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Club de hockey Canadien

Dans le cadre du centenaire du Canadien de Montréal, j'ai effectué un contrat de deux mois avec le Tricolore en 2009.

Comme principales tâches, j'ai rédigé, traduit et révisé des textes destinés aux différentes publications créées pour l'occasion.

Édimestre au Réseau des Sports (RDS)

Durant les Jeux olympiques de 2010, j'ai remplacé des collègues édimestres de RDS partis à Vancouver.

Je m'occupais de rédiger des nouvelles pour le site Internet, de traduire des textes et d'en corriger. Une grosse partie du travail consistait aussi à meubler le site avec des textes d'agences de presse et de les titrer.

De plus, je recueillais les propos d'experts pour les chroniques du rds.ca. Voici quelques exemples de chroniques auxquelles j'ai collaboré :

http://www.rds.ca/hockey/chroniques/294507.html

http://www.rds.ca/jo/chroniques/293912.html

http://199.84.182.165/hockey/chroniques/293610.html

http://www.rds.ca/football/chroniques/292773.html

Les Débrouillards

Depuis juin 2009, je collabore au magazine jeunesse Sport Débrouillards, une édition spéciale des Débrouillards.

Mes tâches sont d'interviewer les athlètes et de trouver des experts pour répondre à des questions posées par les jeunes.

Entre autres, j'ai écrit des textes sur les Alouettes, l'Impact, le Canadien, et des athlètes comme Jennifer Heil, Aleksandra Wozniak, Jasey-Jay Anderson, Anthony Calvillo, Charline Labonté, etc.

Grâce à cette collaboration, j'ai développé des talents de vulgarisateur. À tout moment, je dois m'assurer que le niveau d'écriture convient à mon public cible très jeune.

Voici quelques compléments de textes parus sur Internet :

http://www.lesdebrouillards.qc.ca/client/page_article.asp?page=5691&clef=174&clef2=3

http://www.lesdebrouillards.qc.ca/client/page_article.asp?page=5520&clef=169&clef2=3

http://www.lesdebrouillards.qc.ca/client/page_article.asp?page=5173&clef=157&clef2=3

http://www.lesdebrouillards.qc.ca/client/page_article.asp?page=5275&clef=160&clef2=3

http://www.lbcq.org/articles/20110321.pdf

http://www.laction.com/Societe/Science/2011-06-08/article-2557409/Demande-aux-experts/1

http://www.lactiondautray.com/Societe/Science/2011-03-24/article-2355125/Demande-aux-experts/1

http://www.laction.com/Societe/Science/2010-12-24/article-2056876/Ou-peut-on-faire-de-la-plongee-sous-marine%3F%26mdash%3B-Emily/1

http://www.laction.com/Societe/Science/2010-10-10/article-1810501/Demandes-aux-experts/1

http://legrandclub.rds.ca/profils/607731/posts/81965

Transcontinental

De septembre à novembre 2010, j'ai travaillé au Progrès de Saint-Léonard et au Flambeau de l'Est, deux journaux produits par Transcontinental.

Au préalable, j'ai fait quelques textes pour le journal Le Nord, à Saint-Jérôme.

Depuis, je fais de la pige pour le Magazine de l'Île-des-Soeurs, toujours chez Transcontinental.

Ces collaborations, touchant une multitude de sujets, ont développé ma polyvalence.

Pour lire mes textes publiés :

Magazine de l'Île-des-Soeurs

Progrès de Saint-Léonard

Flambeau de l'Est

Journal Le Nord

vendredi 7 janvier 2011

Plusieurs textes sur Le Grand Club de RDS

Durant mon passage au Réseau des Sports, j'ai publié un grand nombre de textes sur mon blogue du Grand Club.

J'ai d'abord commencé par couvrir le Junior de Montréal, puis j'ai aiguisé mon style en traitant d'autres sujets.

Pour lire mes textes : http://legrandclub.rds.ca/profils/607731/post

Comme j'étais aussi responsable du Grand Club, j'ai appris à bien gérer les réseaux sociaux (Facebook et Twitter), à les modérer et à les alimenter de la bonne façon.

2e prix au Prix de journalisme en loisir 2009

En 2009, un texte paru dans la revue L'AQAIRS vous informe! m'a valu le deuxième prix au Prix de journalisme en loisir. Ce concours existe depuis plus de 25 ans et prime des journalistes de tous les médias du Québec, des plus gros aux plus petits.

Pour lire mon texte : http://legrandclub.rds.ca/profils/607731/posts/42849

Pour plus d'information sur le concours, dans la catégorie "Périodiques" : http://www.loisirquebec.com/prix_journalisme/documents_2009.asp

Traduction du livre "Blood Feuds" de The Hockey News

Livre paru en novembre 2010 : http://www.renaud-bray.com/Livres_Produit.aspx?id=1118661&def=Ennemis+jur%C3%A9s%2CKENNEDY%2C+RYAN%2C9782894724873

Vous pouvez voir mon nom dans la colonne des traducteurs en cliquant sur le bouton "feuilleter".

Curriculum vitae de François Parenteau

EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES

Journaliste

L’actualité − 2011-

Courrier du Sud − 2011-
MSN − 2010-

Transcontinental − 2010-

Le Trente (FPJQ) − 2010-

Agora Forum (AQLM) − 2010-

Journal Le Nord − 2010

Les Débrouillards − 2009-

L’AQAIRS vous informe − 2007-

La Presse − 2005-2006

Traducteur

The Hockey News − 2010-

MSN − 2010-

Réviseur

L’AQAIRS vous informe − 2009-

Coordonnateur, médias interactifs

Le Réseau des Sports − 14 décembre 2009 au 23 mai 2010

· Gérer et alimenter les médias sociaux

· Rédiger et réviser des textes

· Décrire les événements sportifs en direct

Rédacteur/édimestre

Le Réseau des Sports − 7 février 2010 au 28 février 2010

· Gérer les nouvelles du site Internet rds.ca

· Rédiger, traduire et réviser des textes

· Recueillir les propos des experts

Adjoint éditorial

Club de hockey Canadien − 12 octobre 2009 au 4 décembre 2009

· Rédiger, traduire et réviser des textes

Journaliste collaborateur

Journal de l’Université de Sherbrooke − 2009

Journal étudiant de l’Université de Sherbrooke *expérience comme chef de pupitre* − 2006-2009

Axion de Montréal (équipe de hockey féminin) − 2005-2006

Magazine étudiant du cégep Marie-Victorin − 2004-2006

Trappeurs de Marie-Victorin (équipe de hockey féminin) − 2004-2006

FORMATION SCOLAIRE

Université de Sherbrooke − Baccalauréat en communication, rédaction et multimédia − 2006-2009

Cégep Marie-Victorin − Diplôme d’études collégiales en Arts et Lettres communication − 2004-2006

PRIX ET DISTINCTIONS

2^e place dans la catégorie « périodiques » au Prix de journalisme en loisir 2009 remis par le Conseil québécois du loisir

2^e place lors de l’épreuve d’écriture journalistique dans le cadre des Jeux de la communication à Trois-Rivières en 2008

AUTRES EXPÉRIENCES

Connaissance des médias sociaux et participation à plusieurs blogues

Tuteur en français au cégep Marie-Victorin et à l’Université de Sherbrooke

Membre de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (participation aux formations)

Trois immersions anglaises de cinq semaines avec le programme gouvernemental Explore

Joueur de hockey et d’autres sports collectifs depuis mon enfance

Curriculum vitae

Dernière mise à jour

mardi 18 janvier 2011

mardi 11 janvier 2011

lundi 10 janvier 2011

vendredi 7 janvier 2011